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Les meilleurs endroits pour vous lancer en affaires au Québec
Au premier regard, on est tous tentés de dire que l’année 2016 a été un peu difficile pour les investisseurs québécois. En effet, dans le dernier classement publié par la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI), les villes Québécoises disparaissent petit à petit du classement des villes canadiennes les plus attractives pour faire des affaires. Cependant, ce n’est pas totalement le cas, car il existe des endroits qui restent suffisamment attractifs pour prospérer dans le monde des affaires. Ce billet vous propose de les découvrir.
Une nette régression des villes québécoises, mais…
En 2013, 9 villes Québécoises étaient répertoriées parmi les zones où il était avantageux de se lancer en affaires. Quelques années plus tard, on ne retrouve que 5 villes. Ce qui veut dire que 4 villes ont disparu de ce classement et que cette belle province était en train de perdre de la vitesse. Cependant, tout n’est pas gris et une analyse en profondeur de l’unité de formation services financiers nous permet de dresser un portrait bien plus encourageant. En effet, certaines zones réalisent de très belles performances, notamment la Rivière-du-Loup, Victoriaville et Drummondville.
De plus, il faut dire qu’il s’agit d’un classement très relatif, car les chiffres n’indiquent pas que la position des villes s’est détériorée. En effet, certaines villes peuvent déclassées par d’autres qui ont connu dernièrement une très forte hausse. En effet, parmi les 26 villes Québécoises qui ont été sélectionnées, il faut dire que 11 ont connu une nette évolution depuis le dernier classement.
Une question de pondération
Pour effectuer ce classement, la FCEI s’appuie sur plusieurs critères (14). Ceux-ci sont mesurés par sondage ou par analyse des données spécifiques de statistiques au Canada. Ce sont des critères qui sont répartis en trois 3 groupes. On a ainsi la présence, les groupes ou encore les perspectives politiques. Du coup, le groupe de critère « présence » entrepreneurial représente 25% de la note. Celui des « perspectives » représente 35% et le groupe « politique » représente environ 40%. En bref, selon le niveau d’importance que leur accorde la FCEI, il peut arriver que certains critères prennent le poids sur d’autres.
Bien entendu, il y a plusieurs améliorations qui devraient être faites au niveau de la formation continue assurance de dommages, bien que le Québec se débrouille bien au niveau des politiques entrepreneuriales. Le seul endroit où ça coince, c’est au niveau de la présence, car la densité entrepreneuriale est assez faible, comparé à d’autres zones du Canada.
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