- Selfcare et tendances modernes du bien-être à domicile
- Pourquoi choisir une clinique esthétique à Genève ?
- Les nouveaux comptes bancaires 100% accessibles : faut-il franchir le pas ?
- Ces vidéos qui changent notre regard sur le jeu
- Durée de formation pour devenir architecte d’intérieur ? 5 étapes à connaître
- Quand la rapidité devient un argument décisif
- Déplacer l’heure sur écran verrouillé iPhone 11 : Guide complet pour les utilisateurs
- Comment télécharger une vidéo TikTok au format MP3?
- Découvrez pourquoi Karol G hot fait tourner toutes les têtes dans l’industrie musicale
- La nouvelle référence du divertissement numérique au Cameroun
Les objectifs de la thérapie familiale
Non-dits, souffrance, repli sur soi,… Si un membre de votre famille est mal dans sa peau, cela aura sans doute un impact sur la famille entière. La thérapie familiale considère que le symptôme d’un membre n’est pas un signe de difficultés individuelles mais celui d’un dysfonctionnement relationnel du cercle familial. Alors que peut-on espérer de ces thérapies ?
Le symptôme éprouvé par un individu sera également porté comme un fardeau par sa famille. Dans une thérapie familiale, le psychologue va tenter de comprendre le fonctionnement de la famille et d’appréhender les problèmes individuels dans le cadre plus large de la famille. Il va tenter de faire des liens entre l’histoire et le fonctionnement familial et le fonctionnement psychique de l’individu.
Pour qui ?
Très souvent, l’origine de la consultation est un « patient désigné ». Il s’agit d’un membre de la famille qui est amené par un autre chez le psychologue. Le premier pense ne pas avoir de problèmes tandis que l’autre est inquiet et veut le faire aider. Dans quels cas doit-on avoir recours à une thérapie familiale plutôt qu’à un suivi individuel ? Les indications sont diverses et variées : difficultés scolaires, crises conjugales, troubles alimentaires ou du comportement, agressivité ou violence intrafamiliale, addictions,…
Pourquoi ?
La thérapie va mettre en avant les liens entre le symptôme et le fonctionnement familial. Le patient désigné est, en effet, souvent le signe que la famille doit s’adapter à une nouvelle situation mais qu’elle résiste au changement. Cela peut être un deuil ou simplement le passage à l’âge adulte,… Le but sera donc de permettre à cette famille de trouver des ressources pour gérer les crises. Et pour ça, il faut comprendre.
Casser le cercle vicieux
Une famille en crise n’est pas souvent consciente de l’ensemble du problème et reproduit sans cesse le même schéma problématique. Si on arrive à mettre en évidence l’implication de chacun dans cette opposition au changement, on pourra court-circuiter le processus et sortir le patient désigné de cet image de « mouton noir ».
Faire sortir les non-dits
Un autre problème récurrent est la transmission de génération en génération de pathologies familiales. Certains non-dits, secrets ou conflits qui n’ont pas été réglé par les anciennes générations continuent parfois de polluer les relations familiales de leur descendance.
Démystifier les croyances familiales
Le mythe familial est un ensemble de croyances sur le cercle familial qui servent à créer des règles de conduite. Il peut s’agir d’élément de la mémoire familiale que les générations passées ont considéré comme bonnes à transmettre ou au contraire, des événements ou comportements à oublier et à ne jamais reproduire. Par exemple « dans notre famille, tout le monde fait de hautes études ». Si l’on pousse trop ces idées, elles peuvent engendrer de vraies séquelles psychologiques. En thérapie, le but est donc d’exposer ces croyances pour les démystifier.
Si vous recherchez un psychologue spécialiste en thérapie familiale, consultez le site de ce psychologue à Liège et à Verviers.
0 commentaire