- L’impact inattendu des centres de distribution sur la durabilité
- L’animalerie en ligne Animalis : une offre complète pour le bien-être animal
- Qu’est-ce qu’un accord de confidentialité en Suisse ?
- Comment redonner de l’intensité à votre relation amoureuse sans tabou ?
- Combien de temps les véhicules restent-ils en fourrière à Paris ? Les infos clés
- Travailler en sécurité : comment les entreprises modernisent-elles leur équipement médical ?
- Les 5 étapes pour créer des e-liquides personnalisés et véritablement économiques
- Mutuelle pour les jeunes de moins de 25 ans : guide complet pour bien choisir
- Les bois les plus adaptés pour les armoires de cuisine
- Externalisation et RSE : comment concilier performance et responsabilité ?
Le décrochage scolaire : comment s’en sortir ?

Issu du ministère de l’éducation Québécois, ce terme très utilisé en Belgique et en France désigne le fait de quitter l’école avant l’obtention du diplôme pour diverses raisons problématiques.
Généralement, est considéré comme « décrocheur », tout élève qui était inscrit en début d’année scolaire et qui n’a pas, ou plus, suivi le cursus de l’année en cours. Le terme est élargi à tout élève n’ayant pas obtenu de diplôme suite à l’abandon de ses études.
Les causes du décrochage
D’un point de vue individuel, les deux principaux facteurs sont les difficultés d’apprentissage rencontrées par l’élève et les troubles du comportement. En effet, l’élève en trouble du comportement montre un déficit important dans sa capacité d’adaptation à l’école.
Selon la plupart des études, les jeunes qui décrochent ont tendances à moins participer aux activités scolaires, passent moins de temps à faire leurs devoirs, portent peu d’attention en classe ou ont souvent des problèmes d’absentéisme.
Suivant ces mêmes études, les jeunes en décrochage éprouvent de grosses lacunes dans leurs habiletés à se sociabiliser. Ce manque d’habilité diminuerait leurs aptitudes à interagir avec autrui. Les interactions avec les autres se résumeraient donc principalement à de l’irritation, de l’hostilité et de l’intimidation.
Comment se prémunir contre ces risques ?
Au sein de la famille, il existe des actions simples permettant de limiter les risques de décrochage scolaire. L’éducation familiale doit permettre de favoriser la socialisation des enfants ainsi que de développer une certaine habileté sociale. Il est souhaitable de leurs apprendre la gestion du stress et des angoisses en organisant un soutien émotif. Avoir un bon réseau relationnel est aussi quelque chose de primordial. Enfin, il est important de fournir une culture de base large notamment en encourageant les activités parascolaires.
De plus, les parents doivent construire de bonnes relations avec les enseignants et suivre le cursus de l’enfant d’un point de vue scolaire et personnel. Il est important que celui-ci ne se sente pas démuni si des problèmes arrivent et puisse se sentir épaulé.
Enfin d’un point de vue scolaire, il est important pour l’élève que celui-ci se sente engagé dans divers projets scolaires ou parascolaires et qu’il puisse avoir des responsabilités.
Si vous avez des doutes sur la situation de votre enfant ou que vous désirez avoir des pistes, n’hésitez pas à contacter un psychologue spécialisé qui pourra vous aiguiller sur la marche à suivre ou écouter votre enfant.
0 commentaire