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Enfant au primaire, quelles méthodologies de travail ?

Les enseignants comme les parents savent que transmettre une méthodologie de travail au primaire n’est pas une mince affaire. Certains élèves sont désordonnés et ont du mal à se donner un objectif, encore moins à trouver les moyens d’atteindre celui-ci. Les efforts qu’ils déploient peuvent même leur sembler vains, et le travail tout simplement ennuyeux. Ces quelques conseils peuvent être d’un grande aide pour les intervenants à qui il revient cependant de choisir la méthodologie qui leur paraîtra la plus adaptée.
Comment se passe la transmission d’une méthodologie de travail au primaire ?
Dans un premier temps, du coté des enseignants, il convient d’opter pour une approche toute en douceur et procéder par paliers de difficulté. Il est important d’évaluer la durée de mise en œuvre de la méthode dont le degré de difficulté augmentera avec le temps. Cela se fait par une discussion franche, en donnant libre cours à l’expression de l’enfant qui sera lui-même en mesure de fixer ses propres objectifs. Il ne faut surtout pas hésiter à valoriser les prédispositions de l’élève en lui attribuant des surnoms positifs : Monsieur l’As des leçons, l’Expert en tables de multiplication ou encore la Reine de l’orthographe. Cela ajoute un coté amusant que l’ensemble de la classe ne manquera certainement d’apprécier. Mais attention, il faut veiller à ce que chaque élève ait son petit surnom positif pour ne pas éveiller de la jalousie ou un sentiment d’abandon.
Toujours chez les enseignants, l’organisation de concours-surprise a également fait ses preuves dans le domaine de la méthodologie de travail au primaire. L’instituteur peut alors choisir un thème particulier sans le nommer et féliciter les lauréats en fin de journée, et ce en prenant garde de ne pas réprimander les « nuls ». Des jeux comme des tournois de tables de multiplication, de vocabulaire d’anglais, de conjugaison ou de calcul font très bien l’affaire. La créativité doit être le maître-mot de la conception et de la conduite de ces jeux.
Et du côté des parents ?
Du côté des parents, il est important de comprendre que de nombreux enfants perdent pied quand ils sont habitués à travailler régulièrement et des heures durant. Il est donc nécessaire de repérer le moment où l’enfant se sent le plus reposé pour faire son travail après son retour de l’école. Des horaires précis seront alors fixés d’un commun accord et en prenant en compte des impératifs de la vie familiale et des préférences de l’enfant.
Les parents doivent aussi admettre qu’il revient à l’enfant de choisir le cadre de travail dans lequel il se sent le plus à l’aise. Cela peut être sa chambre, la cuisine ou le salon, entouré de toute la famille. En effet, certains enfants ont besoin d’être soutenus, alors que d’autres préfèrent les réflexions solitaires. Cela dit, le besoin de calme et d’intimité s’accroit au fil de l’âge. La bonne parade consiste alors à ne pas surveiller de trop près l’enfant pour être sûr qu’il travaille, et à lui faire confiance tout en restant disponible.
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