- Selfcare et tendances modernes du bien-être à domicile
- Pourquoi choisir une clinique esthétique à Genève ?
- Les nouveaux comptes bancaires 100% accessibles : faut-il franchir le pas ?
- Durée de formation pour devenir architecte d’intérieur ? 5 étapes à connaître
- Quand la rapidité devient un argument décisif
- Déplacer l’heure sur écran verrouillé iPhone 11 : Guide complet pour les utilisateurs
- Comment télécharger une vidéo TikTok au format MP3?
- Découvrez pourquoi Karol G hot fait tourner toutes les têtes dans l’industrie musicale
- La nouvelle référence du divertissement numérique au Cameroun
- Découvrez les tendances mode autour des chaussures Birkenstock Gizeh bleu
Les députés veulent que les agents pénitentiaires puissent faire de l’espionnage
Dans un contexte où la plupart des personnes radicalisées sont issues du milieu carcéral, il est important de légiférer sur ce phénomène. Du coup, les députés français envisageraient de voter une loi permettant aux agents pénitentiaires de faire de l’espionnage en milieu carcéral. On risquerait alors de voir des micros et des caméras dissimulés en prison afin d’espionner certains prisonniers soupçonnés de radicalisme.
Maton et agent de renseignements : un drôle de travail
Jusque-là, les agents pénitentiaires étaient des fonctionnaires à part. Les inclure dans le corps de renseignement de la France va sans doute chambouler le rôle premier de leur métier : assurer la sécurité dans les centres pénitenciers. Avec le réaménagement du Code pénal, les agents pénitentiaires deviendraient, au même titre que les autres agents de renseignements, des agents de la communauté du renseignement français. En effet, il faut dire que cet amendement est le résultat d’un manque flagrant de personnel au sein des services de renseignements de la France. Les prisons étant très sensibles, cette initiative vient à point nommé.
Quel impact avec le personnel de l’administration ?
Avec ce nouvel amendement du Code pénal français, le risque de détérioration de la relation entre les agents pénitentiaires et les prisonniers sont réels. Du coup, il faudra penser aux voies et moyens qui permettront de ne pas identifier ces agents. Ce n’est pas du tout facile, car si le texte passe, c’est toute la communauté des agents qui deviendra immédiatement suspecte. Ce qui n’arrangera pas les choses. Si l’on sait que les informations recueillies par les agents pénitentiaires le sont à travers des méthodes connues, la donne risque de changer d’ici peu.
Un projet de loi pour faire face au terrorisme
Ce n’est pas la peine de dire que cette vague de réaménagement dans l’architecture juridique française est une résultante de la lutte contre le terrorisme. Selon un cabinet d’enquête à Marseille, on sait que le pays est particulièrement visé par les attaques et c’est vraiment le moment de penser à mettre en place des lois permettant de mieux lutter contre la radicalisation en milieu carcéral et surtout de prévenir certaines actions terroristes.
0 commentaire