Une prévoyance qui nous sauve dans le besoin

Par Rodolphe Bertranne le 1 mars 2017

Avant les assurances, il y avait ce risque de perdre un bien par inadvertance sans aucun remboursement ou compensation. On inventa alors les assurances pour éviter les désagréments de ce genre. Les premières entreprises oeuvrant dans ce domaine commençaient à s’inspirer des principes utilisés par les marchands dans le commerce maritime. Puis l’État intervient pour régulariser la pratique. Il existe un véritable droit des assurances. Pour éviter les malentendus, il vaudra mieux trouver assez de renseignements sur l’assurance.

Mieux comprendre pour faciliter l’exploitation

Les gens ne comprennent pas souvent le système des assurances. En ne possédant pas assez de connaissance sur le domaine, ils s’engagent souvent sans réfléchir. Cela ouvre bien sûr la porte à diverses arnaques. Les profiteurs proposent à leurs victimes de signer un contrat détaillé et destiné à les plumer. Il faut toujours consulter un spécialiste au préalable avant d’opter pour telle ou telle assurance. Chez les organismes spécialisés, on donne des consultations pour les futurs clients qui sauront à quoi s’attendre.

Il en existe d’ailleurs plusieurs types qui se destinent soit pour la protection des biens immobiliers comme mobiliers soit pour l’intégrité du corps y compris la santé. Pour ce dernier cas, on parle plus de la sécurité et la prévoyance sociale, une branche plus complexe de ce domaine. Mais grosso modo presque tout le monde connaît un minimum sur le sujet.

Une assurance en cas de décès ou mutilation accidentelle

Voici un exemple pour faire un dessin assez simple du mécanisme des assurances. Imaginons que les membres d’une même famille possèdent chacune un Smartphone. Ils cotisent donc dans le cas où l’un d’eux se ferait voler le sien. Dans ce cas, tout le monde participera au remplacement. Cela semble abusé à première vue. Pourtant il y a la règle de l’aléa qui chasse la lésion qui s’applique. En effet, les membres se dotent des mêmes droits. La perte pourrait arriver à n’importe qui, on utilisera toujours l’argent pour lui en payer un neuf.

Le montant de la prévoyance offert n’est donc pas à la hauteur des sommes payés. Et avec les assurances DMA ou Décès et Mutilations accidentels. L’assuré touche la somme lorsqu’il est victime de la perte d’un de ces membres comprenant les yeux ou la tête. Et si elle meurt, les proches toucheront l’assurance vie.

A lire aussi :   Quelles sont les solutions d’épargnes des banques traditionnelles ?

Postez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *