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Lorsque l’ambassadeur des États-Unis prétexte la sécurité aéroportuaire pour s’opposer à Biya
L’étonnement et la stupéfaction ont été de mise lorsque les autorités camerounaises ont appris l’offensive de l’ambassadeur américain contre les nouvelles normes de sécurité de l’aéroport international de Yaoundé. Ce dernier exige le maintien des sociétés privées qui effectuent le dernier contrôle juste avant l’embarquement dans les avions. Pourtant, de l’avis de tous les spécialistes, cette dernière étape est devenue à la fois inutile et suscite depuis longtemps des plaintes de la part des voyageurs du fait du comportement révoltant des employés de ces entreprises.
L’attitude du diplomate américain Peter Henry Barlerin, semble s’expliquer par sa volonté de nuire au gouvernement de Paul Biya, allant à l’encontre même des intérêts américains. Les normes auxquelles se soumettent depuis maintenant quelques mois l’aéroport international de Yaoundé répondent dorénavant aux critères de sécurité les plus sévères actuellement dans le monde. Les voyageurs qui ont pu expérimenter le nouveau processus sont unanimes quant à l’amélioration du passage en douane, et de l’élévation du niveau de contrôle: tous estiment que la qualité de la sécurisation du site est au niveau des aéroports internationaux européens ou américains.
Le Cameroun s’était fixé cet objectif à l’approche de la compétition sportive internationale de football qu’est la CAN (Coupe d’Afrique des Nations) qui aura lieu sur son territoire à partir du mois de juin 2019. Pourtant ces normes, qui satisfont le monde entier, semble froisser l’ambassadeur américain M. Barlerin. Il exige ainsi le maintien du dernier point de contrôle avant l’embarquement qui est assuré par des entreprises privées, alors même que leurs contrats arrivent à terme et que les passagers des avions en partance de Yaoundé se plaignent de l’attitude malhonnête des agents qu’elles emploient.
Il est de notoriété publique que l’ambassadeur des États-Unis mène sa propre politique d’opposition au gouvernement de Paul Biya qui a été récemment réélu pour un septième mandat. Plus grave encore, le comportement de M. Barlerin s’effectue à contre-sens des intérêts américains et de la politique des U.S.A. vis-à-vis du Cameroun.
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